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VEILLE CRÉATIVE & DÉTECTION PRÉCOCE

Le concept de "signaux faibles" a été conçu dans les années 1970 par Igor Ansoff. Consultant pour Lockheed et la Rand Corporation il développe ce concept dans le cadre de ses enseignements sur le management stratégique à l'Université Vanderbilt. Les signaux faibles sont les éléments de perception de l'environnement, opportunités ou menaces, qui doivent faire l'objet d'une écoute anticipative, appelée veille, dans le but de participer à l'élaboration de choix prospectifs en vue d'établir une stratégie, et de réduire l'incertitude.
La notion de signal faible remonte aux années 1970. Igor Ansoff le définit alors comme « une information d’alerte précoce, de faible intensité, pouvant être annonciatrice d’une tendance ou d’un événement important ». Un événement serait toujours annoncé par des données qui nous permettraient de l’anticiper : les signaux faibles. Fragmentés, isolés ou ambigus, leur utilité n’est pas toujours évidente au premier abord. Surtout si on les compare aux signaux « forts ». Pour aider l’entreprise à les déceler, ils doivent donc faire l’objet d’une écoute anticipative via la veille stratégique.

ÉCOUTE FINE & ANTICIPATIVE

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C’est peut-être la question principale qu’on se pose lorsqu’on parle de signaux faibles. De la difficulté à les détecter à l’importance de leur rôle en intelligence économique, les signaux faibles constituent aujourd’hui un véritable point fort pour l’entreprise qui sait bien les exploiter.

EXPLOITATION & AMPLIFICATION

Distinguer les signaux faibles du “bruit”. Leur exploitation repose ainsi principalement sur la qualité leur interprétation.